Victimes civiles en Ile de France


  • Stèles commémoratives

  • Listes communales des victimes

  • Cimetières et mémoriaux civils ou dans les églises.


Répertoire nominatif des 13 108 victimes civiles et militaires, décédées en Ile de France pendant la Seconde Guerre mondiale

Après la défaite foudroyante de l'armée française pendant l'été 1940, la France vaincue se voit imposer un armistice et la plupart de ses soldats sont prisonniers. Il n'y a plus de combats sur son territoire pendant les trois années qui suivent. Mais à partir de 1942, la Résistance s'organise et entame une guérilla contre les occupants.


Tous les réseaux subissent cependant de lourdes pertes, les nazis les pourchassant sans pitié. En 1944, les alliés anglo-américains entament la libération de l'Europe. C'est le Débarquement. Mais les troupes allemandes s'accrochent, ne lâchent le terrain qu'une fois laminé.


La région parisienne est bombardée, en particulier les noeuds ferroviaires comme Trappes (qui reçoit 1200 tonnes de bombes), Juvisy "la plus grande gare du monde" (392 tués) ou Athis-Mons. En juin 1944, Paris se soulève : de nombreux parisiens sont tués lors de combats de rue.

Sources

  • Stèles commémoratives

  • Listes communales des victimes

  • Cimetières et mémoriaux civils ou dans les églises.


Répertoire nominatif des 13 108 victimes civiles et militaires, décédées en Ile de France pendant la Seconde Guerre mondiale